Il n’y a rien dans le discours de politique générale qui puisse sortir de pays des crises sociale, démocratique, politique et environnementale qui le secouent. Rien non plus sur les trois jours de carence, sur l’augmentation du point d’indice ou les revalorisations salariales. Pour la réforme des retraites, nous n’avons pas besoin d’un « conclave » pour décider de son abrogation !